装飾と怪物性

Jacques François Blondel, Cours d’architecture, ou Traité de la décoration, distribution et construction de bâtimens ; contenant les leçons données en 1750 et les années suivantes par J. F. Blondel, architecte, dans son école des arts. Publié de l'aveu de l'auteur, par M. R***, et continué par M. Patte, 9 vol., Paris : chez Desaint, et la Ve Desain, 1771-77. @Bibliothèque Municipale de Dijon, Cote :3041(texte), Cote :3042(planches)

vol.III, p. lx,:怪物的
… il croient enfin créer du neuf, parce que, dans leur composition, ils osent assortir ensemble le genre ancien avec le genre antique, le gothique avec le moderne, & le pesant avec le délicat, inconséquences qui font éclore tant de productions monstrueuse

vol. I, p. 434:悪しき様で結び付いた混合物
… on ignore enfin ce que peut faire naître l’esprit de convenance, la belle simplicité, la régularité & la symétrie. La plupart de nos jeunes Artistes hazardent souvent dans leurs essais un mélange mal assorti, qui blesse plutôt les yeux qu’il ne les satisfait ; il oublient de se dire ce que Socrate répétoit souvent : Ce que je fais, c’est que je ne fais rien ; cependant à entendre le plus grand nombre, ils savent tout, excepté ce que Socrate savoit…

vol. I, pp. 426-427 : 悪しき様で結び付いた諸部分(コンヴナンスの侵犯)
Au reste, il ne faut pas abuser du caractere terrible dont nous parlons : pris en bonne part, ce caractere produit assez souvent une expression convenable ; mais lorsqu’il paroît contraire au genre de l’édifice, il ne présente plus qu’une Architecture rebutante, que des corps ridiculement lourds, pesants, qui ne laissent voir que des parties mal assorties, un genre soldatesque, une pesanteur gigantesque ; enfin un style où les principes de l’art semblent être anéantis sous le poids de l’ignorance de l’Artiste, pendant qu’on s’attendoit à remarquer un caractere grave, régulier, simple, héroïque, plus capable d’annoncer l’importance du monument, que sa vaste étendue ou son inutilité.

vol. III, p. 157-158,:建築の陥る不安
Aujourd’hui il semble qu’on leur donne assez généralement une proportion plus constante ; mais souvent on les accable d’une richesse indiscrète ; & dans la même façade on en fait d’autres d’une si grande simplicité, qu’elles semblent affoiblir à l’œil du spectateur, l’idée qu’il devoit se former du genre de l’édifice ; nos Architectes à la mode appellent cette disparité, (car incontestablement c’en est une ;) ils l’appellent, disons-nous, une variété agréable, & condamnent la symétrie & la correspondance que les Croisées doivent avoir les unes avec les autres, comme une marche monotone qui n’annonce que la stérilité de l’ordonnateur.
Telle est, pour ainsi dire, l’incertitude à laquelle se trouve à présent reduite l’Architecture.

vol. III, p. lxxviii, : 美しい単純さ
… il faut se rappeler, que les ornements trop multipliés sont une imperfection, une intempérance qui éloigne du grand goût de la belle simplicité, que préferent toujours les hommes célebres.